A bord, équipement High tech avec très large choix d'activités : films, tv, musique, apprentissage de langues ou taditions des pays du monde entier, et même des jeux... Valou serait aux anges : ya même Zuma !!
Nos 48 heures de transit à Singapour ont été... comment dire... un peu irréelles ! Non seulement parce qu'on planait complètement à cause du décalage horaire (nous avons sauté une nuit), mais aussi à cause de la mentalité du pays (cf. chronique à venir sur les paradoxes de Singapour).
Un joueur de Dames en pleine concentration. Chinatown, Singapour. © Delphine Russeil
Statue dans un temple bouddhiste. Chinatown, Singapour.
Eh oui ! On l'a pris ! Après s'être fait rabattre les oreilles par son projet, sa construction, ses retards de livraison... l'A380 nous a enfin accueillis à son bord. Finalement... c'est un avion ! On s'attendait presque à une soucoupe volante avec des rayons lasers, des sièges télépathes qui devancent tes besoins, avec bien sûr douche intégré. Mais non... A part peut-être en première classe, mais on n'a pas pu monter vérifier.
Première vraie journée à Sydney, après une bonne nuit de sommeil, qui nous a remis du jetlag.
Singapour est paradoxale, même dans son architecture où le capitalisme occidental défie la Chine communiste.
Visions sous-marines. Aquarium de Sydney, le 7 février 2009.
Singapour est une ville de paradoxes. Son quotidien vogue entre règles strictes, presque idiotes parfois vues avec nos yeux de Français, et comportements ahurissants, voire dangereux.
Dimanche, nous avons pris le ferry au Circular Quay de Sydney afin de traverser la baie direction Manly. Cette petite ville (qui est en fait une banlieue de Sydney) est reputée pour sa plage de surfers, ses maisons chics et une balade le long de la côte au milieu d'une réserve nationale. Cette dernière était l'objectif de notre visite.
Juste le temps de poster quelques photos... de nous evidemment !
Bonjour à tous !
Ca y est, j'ai enfin rempli ma première mission. Ce fut dur et risqué, mais je l'ai débusqué, derrière les buildings imposants de la City... L'Opera House !
En nous baladant la semaine dernière dans le grand Botanic garden derrière l'Opera House de Sydney, nous avons fait une rencontre saisissante. Depuis un moment, on entendait piailler au-dessus de nos têtes. Soudain, un énorme oiseau passe dans le ciel et... ah mais non, ce n'est pas un oiseau ! Il s'agit d'une énoooorme chauve-souris. Quelques pas plus loin, on découvre au sommet des eucalyptus du parc des dizaines, voire des centaines de chauve-souris, suspendues la tête en bas, en plein somme. Stupéfiant, surtout lorsqu'on garde en mémoire qu'on est au coeur de Sydney, à deux pas de la City. Et dire qu'en France on se plaint des pigeons !
Actuellement, nous sommes dans les Blue Mountains, à 2h à l'Ouest de Sydney. La région est réputée pour ses superbes panoramas, ses vallées époustouflantes, ses eucalyptus pleins de koalas et d'oiseaux bigarés. Manque de pot, le seul panorama que nous voyons est un écran de purée de pois, humide, voire détrempant ! Même pas de quoi vous mettre une photo ! C'est nul ! ON AVAIT DEMANDE DU SOLEIL EN VENANT EN AUSTRALIE !!!!!!!!!
Bon… Finalement, on est restés ! On a trouvé un subterfuge pour contourner le mauvais temps, en s’octroyant le luxe de trois nuits en auberge de jeunesse. On s’est dit que c’était dommage d’être venus jusque dans les Blue Mountains pour juste une nuit et qu’en même temps, on n’allait pas rester trois jours dans le van, sous la pluie. On est partis pour un an certes, mais c’est pas Koh Lantah !! Tomber malade au bout de deux semaines serait idiot…
Pour vous donner une idée de la vue d'ensemble, essayer d'enchaîner ces trois photos de gauche à droite : la cascade, les trois soeurs et enfin le plateau.
Le 5 janvier 2009, Patrick de Carolis, le président de France Télévisions, a décidé, de son propre chef (la loi n’a pas été votée), de supprimer la publicité sur les chaînes de son groupe, à partir de 20 h. Une décision plus ou moins heureuse, on verra dans les années à venir comment les chaînes vont se financer et quels programmes vont-elles diffuser.
Devant votre intérêt général pour les incendies en Australie, nous avons décidé de faire un point sur la situation downunder.
Allez, c’est l’heure de nous mettre à table et de vous avouer notre petit pépin de vendredi… maintenant qu’il est résolu !
Ce week-end donc, nous sommes allés camper dans le parc national Euroka, à Glenbrook. Mais nous, on a choisi la version Mac Gyver ! En effet, nous avions pensé à tout sauf à : un briquet/allumettes (pour allumer le feu, c’est plus pratique mais trop facile !), une pompe pour gonfler le matelas (à la bouche, c’est beaucoup mieux !), une montre/tout autre appareil qui donne l’heure et permet de rester en lien avec la réalité.
Dimanche, nous roulerons vers une nouvelle découverte : le woofing. Il s’agit de fermes/grandes propriétés qui vous nourrissent, logent et blanchissent. En contrepartie, vous participez à la vie de l’exploitation à hauteur de 4 à 6 heures par jour. Les tâches sont aussi variées qu’il y a d’hôtes : jardiner, planter des arbres, nourrir les animaux, cuisiner, couper du bois, réparer les clôtures ou les maisons, etc.
Depuis trois semaines, l’image que les Australiens nous renvoient, ou plutôt les grandes enseignes de la consommation, est très proche de la caricature.
A la demande generale, voici quelques photos de notre fameux van. C'est un Ford econovan de 1984 (oui, il a l'age de Delph !). Mais en Australie, ca ne veut pas dire grand chose... Il a 250 000 kilometres, mais un moteur change en 2007 ; des freins neufs, une batterie neuve, de bons pneus... et maintenant une nouvelle boite de vitesses.